Le feu crépite, projetant des lueurs sur des visages aux yeux écarquillés alors que les voix tombent à un murmure. Un zeste d'orange sanguine flotte dans l'air—le dernier goût de douceur avant que le récit ne prenne un tournant. Un cœur de gousse de vanille grillée et de fumée de cade couve, dérivant comme la mémoire elle-même—réconfortant, jusqu'à ce qu'il ne le soit plus. Ancré par le bouleau carbonisé et le patchouli noir, le parfum persiste comme la dernière phrase d'une histoire que vous n'aviez pas vue venir. Tales from the Hood est à parts égales nostalgie et inquiétude vacillante, un parfum de feu de camp où chaque ombre pourrait cacher une histoire.