Bonne chance pour trouver un répit à la maison face à l'horreur qui assombrit votre vie, car il est difficile de trouver la quiétude, la paix, le hygge, etc., étant donné les intrusions constantes du monde extérieur dans le domaine domestique. Les déversements chimiques tuent nos animaux de compagnie, l'inflation réduit de moitié nos budgets alimentaires, et cela sans parler de la question même de l'insécurité du logement. Après les jours de gloire des taux d'intérêt nuls, la version du XXIe siècle de l'idylle américaine de la propriété a pris fin avec l'arrêt de l'argent facile (et la hausse des prix de l'essence, qui a bouleversé même les rêves de vie en van). Beaucoup réalisent ce que les pauvres ont toujours su. « Le loyer mange en premier », pour citer le travail du sociologue Matthew Desmond sur les expulsions — ou vos paiements hypothécaires le font.