Un hybride de journalisme d'investigation, d'analyse historique et de réflexion personnelle qui examine la relation évolutive de l'humanité avec le mal à travers la figure du Diable. Sullivan explore les origines du Diable, des mythologies anciennes à la théologie chrétienne, en faisant référence à des penseurs comme Zoroastre, Augustin et Baudelaire, tout en racontant ses expériences lors d'une messe noire au Mexique et en enquêtant sur une mort en 1988 au Texas liée à la panique satanique. Le livre plonge dans les débats théologiques, les rituels culturels et les événements modernes pour explorer comment la croyance au Diable a diminué en Occident, bien que Sullivan soutienne que le mal persiste sous des formes que nous rationalisons ou nions souvent. La réception a été mitigée : certains louent son ambition et sa narration, tandis que d'autres critiquent son point de vue centré sur le christianisme et ses incohérences structurelles. (Remise Moyenne)